Ahlima Mhamdi
Mezzo-soprano
01 À propos
La mezzo-soprano Ahlima Mhamdi est « une des plus belles Carmen écoutées ces dernières années » d’après forum opéra. Alors qu’elle a chanté ce rôle plus d’un quarantaine fois, Ahlima Mhamdi s’apprête à le chanter Théâtre de l’Odéon à Marseille en mars 2025.
Après des études théâtrales au Conservatoire de Châtillon et une Licence à La Sorbonne Nouvelle, la mezzo-soprano franco-marocaine Ahlima Mhamdi intègre la classe d’art lyrique d’Isabelle Germain et Fabrice Boulanger au CNSMD-Lyon, où elle obtient son prix Mention Très Bien à l’Unanimité avec les Félicitations du jury. Pendant sa formation, elle est admise au Nouveau Studio de l’Opéra de Lyon et elle est nommée « Révélation lyrique de l’ADAMI ». À sa sortie du CNSM, elle intègre la Jeune Troupe de Solistes du Grand Théâtre de Genève (2013-2016) qui lui confie des rôles chaleureusement salués par la presse. Elle y chante notamment les rôles de Fenena (Nabucco), Maddalena (Rigoletto),Preziosilla (La Forza del destino), Meg Page (Falstaff) ou encore celui de Martine (Le Médecin malgré lui de Gounod).
Rôles interprétés | |
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Charlotte | Werther |
Carmen | Carmen |
Fenena | Nabucco |
Flora | La Traviata |
Flosshilde | Das Rheingold/ Götterdämmerung |
Hélène | La Belle Hélène |
Meg Page | Falstaff |
Maddalena | Rigoletto |
Martine | Le Médecin malgré lui |
Mercédès | Carmen |
Mère Marie | Le Dialogue des carmélites |
L Opinion publique | Orphée aux enfers |
Orlovsky | Die Fledermaus |
Preziosilla | La Forza del destino |
Requiem | Requiem Verdi |
Schwertleite | Die Walküre |
Smeton | Anna Bolena |
Elle interprète le rôle-titre de Carmen au Festival d’Alden Biesen en Belgique, ainsi qu’au Boïchoï de Minsk en Biélorussie. Elle fait l’été 2016, ses débuts aux Chorégies d’Orange dans le rôle de Flora Bervoix (La Traviata) aux côtés de Placido Domingo.
Ahlima chante Mercédès (Carmen) au Théâtre des Champs-Élysées, au Festival lyrique de Sanxay, Smeton (Anna Bolena) au Grand Opéra d’Avignon, Maddalena (Rigoletto) au Grand Opéra de Tours, Martine (Le Médecin malgré lui) à l’Opéra de Rennes, plusieurs concerts de gala au Symphony Hall d’Osaka, le Requiem de Verdi au Victoria Hall de Genève, Flosshide et Schwertleite (der Ring) au Grand Théâtre de Genève, L’Opinion Publique (Orphée aux Enfers) à l’Opéra de Reims. Plus récemment elle a chanté le rôle titre de Carmen à l’Opéra de Massy, et s’est fait très remarquée dans le rôle-titre de Carmen Al Andalus en tournée avec la compagnie Opéra éclaté.
La saison dernière, Ahlima Mhamdi a fait 3 prises de rôle très remarquées : Mère Marie de l’Incarnation dans Le Dialogue des Carmélites à l’Opéra de Massy, Dorabella et le rôle titre de La Belle Hélène en tournée avec opéra éclaté.
La saison prochaine, Ahlima Mhamdi comptera à nouveau 3 prises de rôle: Gertrude (Hamlet) à l’Opéra de Massy sous la baguette d’Hervé Niquet, La Troisième Dame (Die Zauberflöte) à l’Opéra de Nice et la Périchole avec TLA productions. Elle continuera également les tournées avec Opéra éclaté pour les rôles de la Belle Hélène (Opéra de Massy, Clermont Ferrand,…), de Carmen Al Andalus (Opéra de Marseille…), de Dorabella (Pau…).
Prix remportés | |
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Premier Prix Opéra | Concours international de Marmande 2015 |
Premier Prix Mélodie française | Concours international de Marmande 2015 |
Deuxième Prix | Concours international de Mâcon 2016 |
Prix du public | Concours international de Mâcon 2016 |
Prix de la cité de la voix | Concours international de Mâcon 2016 |
Révélation lyrique | ADAMI 2013 |
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02 Photos
03 Videos
04 Presse
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La Belle Hélène – Olivier Desbordes – opéra éclaté
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"Ahlima Mhamdi fait d'Hélène une brune brûlante; ses aigus assurés ensoleillent son personnage de reine délurée."Par Bruno Villien, Opéra Magazine,
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Le Dialogue des carmélites – Mireille Delunsch – Opéra de Massy
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"La meilleure pour la fin : Ahlima Mhamdi prête à Mère Marie un mezzo gorgé de saveurs, avec à la fois de la chair et une rectitude implacable dans ses phrasés, un alliage de feu et de rigueur dans sa diction comme sur son visage."Par Emmanuel Dupuy, Diapason Mag, oct. 2023
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"La mezzo-soprano Ahlima Mhamdi confère au personnage difficile de Mère Marie de l’Incarnation une présence imposante et d’une rectitude implacable. Entre feu et glace, sanglée dans ses certitudes et ses souhaits du martyr, elle met en valeur ses vastes moyens vocaux et ses aigus tranchants à son total service.
"Par Olyrix, Jose Pons, oct. 2023
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Carmen – Olivier Desbordes – Opéra éclaté
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"Le rôle-titre est interprété par Ahlima Mhamdi, qui connaît déjà bien ce personnage sensuel mais surtout insolent, provocateur. Sa voix sert constamment son jeu scénique, investi, parfois intense, avec un timbre rond, de jolies teintes de lumière et un vibrato qui apporte la chaleur de son mezzo. Sa diction irréprochable permet de savourer chacune de ses paroles et également ses nuances expressives."Par Emmanuel Deroeux, Olyrix ,
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"Pour avoir, à plusieurs reprises, incarnée la Carmen de Bizet, Ahlima Mhamdi a une connaissance intime du personnage, et en donne une interprétation idéale. Elle lui prête sa beauté altière, jouant de son mezzo capiteux. Les grands morceaux de bravoure sont chantés avec une telle sincérité, un tel feu, qu’on a l’impression qu’ils viennent d’être composés."Par Bruno Villien, Opéra Magazine ,
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Carmen, Ismaël Guttierez, Zénith de Dijon
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"Carmen met le feu aux cœurs. Ici, pas de femme fatale, maléfique, mais une jeune femme « coquette, sensuelle, inconsciente » (R.Hahn). Ce sera une des révélations de la soirée : Ahlima Mhamdi est une des plus belles Carmen écoutées ces dernières années. La voix est chaude, colorée, expressive, et l’émotion est au rendez-vous, non seulement dans les airs célèbres mais aussi dans les passages où les demi-teintes le disputent à de solides graves, jamais poitrinés. L’engagement et le jeu dramatique sont à l’avenant. La chanson bohême et les « tra, la, la » atteignent des sommets. Une authentique Carmen, dont il faut guetter les apparitions."Par Yvan Beuvard, forumopéra ,
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La Traviata, Pierre Thirion-Vallet, Opéra de Reims
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"Elle aussi rompue à un rôle qu’elle avait notamment chanté sur la scène d’Orange en 2016 aux côtés de Placido Domingo et Ermonela Jaho, Ahlima Mhamdi est une Flora engagée qui trouve à chacune de ses sonores interventions l’occasion de faire briller son mezzo aux teintes mordorées. "Par Pierre Giraudie, Olyrix ,
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"Retenons cependant le timbre pulpeux et l’élégance de la ligne de chant de Ahlima Mhamdi dans le rôle de la courtisane Flora Bervoix"Par Nicolas Le Clerre, Première loge,
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Carmen, Paul-Émile Fourny, Opéra de Massy
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"La Carmen d’Ahlima Mhamdi est plus que convaincue : la gestuelle sensuelle se mêle aux regards intenses, tantôt amoureux, tantôt assassins. La mezzo met également sa voix au service de son jeu et puise dans la rondeur de ses mediums pour réchauffer son timbre. Grâce à sa diction impeccable et à sa projection, elle ressort du plateau vocal avec aisance. Dans les graves, elle n’hésite pas à recourir à une voix de poitrine proche du parler, gorge serrée, qui tranche avec ses envolées éclatantes. "Par Malory Matignon, Olyrix,
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L’impératrice – Eric Rouchaud – Théâtre Impérial de Compiègne
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"Ahlima Mhamdi brille tout autant, avec sa voix de mezzo aux reflets satinés, aussi ardents dans les graves qu’étincelants à l’autre extrémité de la portée. Sous les traits de Giuditta Pasta (l'une des nombreuses personnalités historiques qui se trouvent ici réincarnées, au même titre que Cocteau, Pasteur ou Mérimee), le grand air de Tancredi, "Di Tanti Palpiti" est remarquablement interprété, avec une voix sonore sur toute la ligne, et une diction idéalement incisive."Par Pierre Giraudie,
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"La diva apparait alors, sous les traits d’Ahlima Mhamdi, qui chante « Di tanti palpiti », extrait de Tancredi. La mezzo franco-marocaine possède tous les atouts : à une présence scénique pleine de classe, elle joint une voix assurée et prenante. On le vérifie à la fin, quand Eugénie pleure la mort de son fils unique, tué en Afrique du Sud, à l’âge de 23 ans : dans « Va ! laisse couler mes larmes » de Werther, Ahlima Mhamdi exprime une émotion maitrisée et poignante : elle pourrait bien entrer dans le cercle si restreint des tragédiennes lyriques. "Par Bruno Villien, opéra magazine,
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La Traviata – Louis Désiré – Chorégies d’Orange
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"La Flora vive et pulpeuse d’Ahlima Mhamdi révèle le beau caractère et l’aisance de cette mezzo prometteuse, qui vient de terminer son cursus de jeune soliste en résidence au Grand Théâtre de Genève."Par Sylivie Bonier, Le Temps
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"Enfin, soulignons comme il se doit la Flora d’Ahlima Mhamdi toute souriante et séduisante et vocalement très intéressante. Un nom à suivre."Par Sebastien Herbecq, bachtrack.com
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"Seconds rôles bien distribués avec une mention toute particulière pour la Flora sensuelle d’Ahlima Mhamdi."Par Michel Le Naour, concertclassic.com
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" Parmi les seconds rôles [...] Ahlima Mhamdi compose une admirable Flora Bervoix."Par David Verdier, resmusica.com
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"La giovane mezzosoprano Ahlima Mhamdi, ha colorato con vivacità il personaggio di Flora Bervoix ed ha saputo interpretare il ruolo con tutta la vocalità di uno splendido mezzosoprano."Par Cornelia Marafante, ierioggidomaniopera.wordpress.com
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Le Médecin malgré lui – Laurent Pelly – Grand Théâtre de Genève
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"Chez les dames, on salue avant tout la brillante Martine d’Ahlima Mhamdi, à la voix imposante et aux graves sonores."Par Laurent Bury, forumopera.com
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"La gouaille d’Ahlima Mhamdi en Martine rend, elle aussi, parfaitement justice au texte de Molière."Par Claudio Poloni,, concerto.net
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"Ahlima Mhamdi spielte die resolute und geplagte Frau die so manche harte Schlage von ihrem Mann Sganarelle einstecken musste. Sie uberzeugte durch eine jugendlich frische Stimme welche den Dialog und das Schauspiel bestens beherrschte."Par Marcello Paolino, der-neue-merker.eu
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"Ahlima Mhamdi entzuckt als junge Xanthippe Martine (der Streit mit Sganarelle beginnt zu den Schlussakkorden von vorn...), deren Arie vor Arger (und vokaler Konnerschaft) spruht."Par Samuel Zinsli, operalounge.de
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La Forza del destino – Paolo Arrivabeni – Grand Théâtre de Genève – Victoria Hall
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"la Preziosilla incandescente d’Ahlima Mhamdi, dotée d’un timbre splendide, d’une tessiture incroyable faisant fi des coloratures et des hardiesses de son air."Par Thomas Muller, bachtrack.com
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"Ahlima Mhamdi a commencé sa carrière au Nouveau Studio de l’Opéra de Lyon. Désormais habituée des scènes lyriques françaises et du Grand Théâtre de Genève, elle campe Preziosilla avec fougue et même rage d’une voix puissante et avec toute la moquerie et le sarcasme nécessaires. Son Rataplan, rataplan, rataplan de la fin du troisième acte est impeccable et triomphal."Par Pierre Tricou, odb-opera.com
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"Avec le choix d’Ahlima Mhamdi, membre de la Troupe des jeunes solistes en résidence (et déjà entendue sur la scène du Grand Théâtre en Afra dans Wally en 2014), on rend aussi justice à Verdi en confiant le personnage de Preziosilla, comme il le souhaitait, à une voix de premier ordre, qui intervient avec brio et autorité."Par Fabrice Malkani, forumopera.com
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"Ahlima Mhamdi incarne une Preziosilla à la voix corsée et agile."Par Claudio Poloni, concerto.net
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Rigoletto – Robert Carsen – Grand Théâtre de Genève
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"Au sein d’une fratrie malsaine toute vêtue de cuir, nous retiendrons, avant le frère Sparafucile qui manquait un peu de grave, sa sœur Maddalena. Ahlima Mhamdi se révèle être une agréable surprise dans cette soirée. Voilà une mezzo qui chante admirablement bien avec une projection et une capacité à percer dans les ensembles tout à fait étonnante. [...]Il est rare d’entendre des Maddalena et des Monterone de ce niveau,il est donc nécessaire de souligner la grande qualité de ces jeunes artistes.[...] Une ouverture de saison marquée donc par la révélation des deux jeunes femmes, Lisette Oropesa et Ahlima Mhamdi."Par Mathieu Guigue, classiqueinfo.com
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"La Maddalena d'une ardente sensualité scénique et vocale d'Ahlima Mhamdi. "Par Emmanuel Andrieu, opera-online.com
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"Sur le plan des timbres, le Sparafucile abyssal de Sami Luttinen et la Maddalena chaude d'Ahlima Mhamdi ocuppent une belle place au cœur du reste de la production équilibrée."Par Sylvie Bonier, Le temps
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"Parmi les rôles secondaires, il faut citer notamment [...] la sulfureuse Maddalena d’Ahlima Mhamdi. "Par Claudio Poloni, concertonet.com
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"En Maddalena, Ahlima Mhamdi, artiste en résidence, confirme les espoirs qu’avaient laissé entrevoir ses prises de rôle de la saison dernière."Par Gérard Ferrand, odb-opera.com
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"Sami Luttinen was a menacing Sparafucille and his stage-sister, Ahlima Mhamdi, a member of the Jeunes Solistes of the Grand Théâtre, proved to have a solid technique, good articulation and great projection."Par Laurent Leboyer, seenandheard-international.com
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"La giovane mezzosoprano franco – marocchina Ahlima Mhamdi era una Maddalena fresca e perfettamente ispirata mentre gli altri interpreti erano nell'ordine."Par Giacomo di Vittorino, amadeusonline.net
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La Wally – Cesare Lievi – Grand Théâtre de Genève
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"Dans les rôles secondaires, il faut saluer tout particulièrement Ahlima Mhamdi, Afra à la présence généreuse à la voix précise et onctueuse."Par Rocco Zacheo, Tribune de Genève 20/06/2014
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"Une mention enfin pour la belle mezzo franco-marocaine Ahlima Mhamdi qui, dans le rôle d'Afra, gratifie l'auditoire de sa voix à la fois sombre et veloutée."Par Emmanuel Andrieu, opera-online.com 26/06/2014
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"La mezzo-soprano Ahlima Mhamdi n’a qu’un petit rôle, mais sa présence vocale et scénique rayonne en Afra."Par Fabrice Malkani, forumopera.com 27/06/2014
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"Ahlima Mhamdi prête un velouté sombre à Afra."Par Paul-André Demierre, crescendo-magazine.be
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"Ahlima Mhamdi campe une Afra élégante et digne."Par Claudio Poloni, concerto.net
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"On ne peut que regretter la brièveté du rôle d’Afra qui ne nous permet pas d’entendre plus longuement la belle voix de son interprète. "Par Corinne Le Gac, operaworld.es
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Une Education manquée – Frédérique Lombart – Opéra de Rennes
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"Ahlima Mhamdi affirme en Gontrand de Boismassif une innocence aussi délicieuse que la fraîcheur de son timbre apprêté pour ce rôle travesti."Par Gilles Charlassier, concerto.net
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Nabucco – Roland Aeschlimann – Grand Théâtre de Genève
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"Remarquée – et remarquable - également, la soprano franco-marocaine Ahlima Mhamdi, qui campe une Fenena attachante, en faisant de son air « Oh, dischiuso è il firmamento » un des plus beaux moments d'émotion de la soirée."Par Emmanuel Andrieu, opera-online.com
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"Jolie découverte que la Fenena fraiche et charmante de la jeune mezzo franco-marocaine Ahlima Mhamdi, dotée d’un timbre chaleureux et d’une émission vocale très naturelle. Son air du IV révèle ainsi une belle sensibilité et un vrai sens du legato."Par Nicolas Grienenberger, classicnews.com
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"La distribution genevoise est dominée par la mezzo-soprano franco-marocaine Ahlima Mhamdi, touchante Fenena"Par Bruno Serrou, bruneauserrou.blogspot.fr
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"Avec [...] la Fenena boisée et chaleureuse d'Ahlima Mhamdi, la distribution tient ses promesses féminines."Par Sylvie Bonnier, Le Temps
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"D'une grande justesse scénique, la jeune artiste franco-marocaine est dotée d'un mezzo lumineux. Elle propose une incarnation toute en finesse et en subtilité."Par Tania Bracq, forumopera.com
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"Ahlima Mhamdi confirme les qualités qui lui ont permis d'être distinguée par l'ADAMI. Avec un timbre velouté elle campe une Fenena touchante dont on apprécie la musicalité dans "Oh, dischiuso è il firmamento"."Par Gérard Ferrand, odb-opera.com
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05 Duo
La mezzo-soprano franco-marocaine Ahlima Mhamdi et la pianiste allemande Marieke Hofmann se rencontrent au Cnsm de Lyon en 2010 où elles suivent l'enseignement de David Selig et Charles Bouisset. Très vite, leur sensibilité commune les amène à approfondir le travail de la mélodie et du lied, et elles se perfectionnent auprès de Charles Spencer, Anne Le Bozec, François le Roux, Udo Reinemann, Christian Immler...
Ensemble, elles gagnent le prix « Thomas-Wiese-Preis» à l’académie de Lied de Husum (Allemagne) en 2013. Leur travail de duo est également récompensé par une bourse dans le cadre du Mécénat Société Générale qui les invite à se produire très régulièrement lors de nombreux concerts privés. Elles créent alors des récitals dont la particularité est d'allier textes, mélodies, airs d'opéra et répertoire contemporain; leur désir est de susciter autant l'intérêt des auditeurs initiés que celui des publics novices.
Le duo Ahlima Mhamdi-Marieke Hofmann a, depuis, été invité au Festival des Journées Romantiques à Paris, à l'Opéra d'Avignon, à l'Ambassade de France de Pékin... Pour la saison prochaine, elles se produiront entre autre au Festival Volcadiva en juillet 2021.
Biographie de Marieke Hofmann
Formée d’abord dans son pays natal (Musikhochschule de Freiburg et de Karlsruhe) la pianiste allemande Marieke Hofmann termine ses études en 2012 auprès de Florent Boffard (piano) et David Selig (accompagnement au piano) au CNSMD-Lyon. Elle est lauréate du concours international de piano Gabriel Fauré et la musique française en 2011. En 2014, Marieke Hofmann remporte le concours « Nei Stëmmen » au Luxembourg dans la catégorie pianiste accompagnateur. Elle se produit en tant que soliste lors de nombreux festival en France et en Allemagne. Elle travaille également comme chef de chant à l’Opéra de Lyon, à l’Opéra Théâtre de Saint-Etienne et au Pôle lyrique d’excellence. Au CNSMD de Lyon, elle est l’accompagnatrice de la classe de chant de Mireille Delunsch et assistante en classe d’accompagnement au piano.
Écouter un morceau de notre duo.